Les couteaux « Michel BRAS » sont réalisés dans un équilibre idéal entre technologie de pointe et savoir-faire manuel de techniciens experts.
La technique du polissage, premier pas vers le couteau
Un travail d’abrasion donne à la lame, d’épaisseur égale au départ, une forme triangulaire du dos vers la pointe. Après avoir été affûtée par une pierre cylindrique à rotation rapide, le lustrage lisse sa surface pour un résultat parfaitement satiné et effilé.
La soudure de la mitre, support de la lame
La mitre qui relie la lame au manche, est un élément essentiel du couteau. A la soudure et l’élimination des parties superflues, succède le polissage. La finition de son angle et de sa forme est ajustée aux particularités de chacun des dix couteaux.
Le sablage : une touche de noblesse sur la lame
L’aspect mat si particulier à la lame s’obtient grâce à une technique de sablage appelée « shotblast ». Le résultat dépend de la précision de mouvement du technicien responsable de l’opération.
Un montage effectué à la main
Chaque étape du montage, de la lame au manche, du manche au sabot, s’effectue à la main. Monter le manche en châtaigne au sabot implique en particulier plusieurs tentatives, étant donnée la précision requise.
Donner vie à la lame : l’affûtage final
L’étape finale de l’affûtage permet de réaliser le tranchant idéal selon la destination du couteau. Un polissage humide à la pierre à affûter, en rotation sous jet d’eau, affile le bord tranchant de la lame. Un second polissage, avec une lamelle de cuir en rotation, permet d’obtenir une lame tranchante et effilée.
Un contrôle de qualité minutieux à l’échelle du μm
Un contrôle de qualité rigoureux est effectué à chaque étape. Le dernier qui suit l’affûtage, est réalisé de manière aléatoire, et le tranchant de la lame, son angle, son épaisseur, sont enregistrés sur ordinateur pour en vérifier la précision jusqu’au μm (millième du millimètre près). De nouvelles vérifications suivent sur chaque élément, dans un examen final avant livraison.